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Habitants de la commune,
Des masques en tissu sont à votre disposition en mairie.
Précisions rubrique COVID 19
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Contact
12 rue des écoliers
23150 Maisonnisses
Secrétariat de mairie :
Téléphone : 05 55 80 07 04
Mail : mairie-maisonnisses@wanadoo.fr
Horaires
lundi – vendredi de 9 h à 12 h
mercredi – jeudi de 14 h à 17 h
Les budgets primitifs 2018 en quelques chiffres…..
Budget primitif 2018 de la commune
Budget primitif 2018 du service de l’eau
Du XIIIe au XVe siècles, Maisonnisses était le siège d’une commanderie de l’ordre de Malte, avec un château entouré de fossés et une église, seul témoin de cette époque encore debout aujourd’hui .
Il est supposé qu’auparavant des templiers étaient installés à Maisonnisses mais les textes, parfois en contradiction, ne le confirment pas.
La Commanderie de Maisonnisses ne figure sur aucune des listes des Commanderies de l’Ordre des Templiers. Ce sont des moines-soldats-guérisseurs de l’autre Ordre (celui des Hospitaliers) qui, vers la fin du XIIème siècle auraient construit à Maisonnisses un domaine agricole, un château-fort (vendu à la Révolution et détruit par la suite) et une église dédiée à Saint Jean-Baptiste (le saint patron des Hospitaliers).
Le Château
Véritable forteresse, avec des tours, créneaux, machicoulis et fossés. On ignore où siégeait la justice, mais on pense qu’une des allées du château était utilisée à cet effet.
L’église du XIII – XIVème
Sous le vocable de Saint Jean-Baptiste (patron des Hospitaliers) et Saint Sébastien, l’église est édifiée sur une crypte inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
L’accès à cette salle basse voûtée se fait par une porte extérieure placée au sud, et un escalier de douze marches. Une rangée de deux colonnes et d’une demi-colonne la subdivise en deux nefs de trois travées. Dix petites colonnettes demi-engagées reçoivent les retombées des voûtes. La chapelle basse semble également dater du XIVe siècle. Cette crypte abrite plusieurs espèces de chauves-souris et notamment une colonie de petits rhinolophes.
À l’intérieur de l’église, dans l’enfeu, se trouve un gisant, statue funéraire de l’un des membres de l’Ordre de Malte, retrouvé dans un champ par un laboureur vers 1830. La présence du chien, couché à ses pieds, est une marque de fidélité. Il est aussi inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Certaines dalles du sol de l’église sont ornées de Croix de Malte.
Sur les murs latéraux, des chapiteaux en pierre sculptée représentent des visages de moines-soldats-guérisseurs. Notons les étonnantes fresques qui ornent le plafond de l’autel.
7 septembe 1943, dans le bois du Thouraud :
Depuis 3 ans, la France est soumise au régime de l’occupation nazie avec la complicité du gouvernement de Vichy. Mais, insensiblement, après plusieurs victoires des Alliés sur les fronts extérieurs, le mouvement de résistance commence à trouver des soutiens dans les territoires français. C’est ainsi qu’un peu partout en France, se créent des Maquis où viennent se réfugier les jeunes gens refusant de partir en Allemagne pour le Service du Travail Obligatoire. Prendre le maquis n’est pas une décision légère en 1943 : c’est choisir la clandestinité, l’incertitude, l’inconfort ; c’est dépendre du soutien des habitants des environs et craindre à tout instant d’être découvert par l’occupant ; c’est quitter sa famille pour risquer sa vie au nom de la Liberté.
Au Bois du Thouraud, dès le printemps 1943, ils sont 18 jeunes réfractaires encouragés par le mouvement « Ceux de la Libération-Vengeance » à constituer un maquis, sous l’autorité du colonel Leduc qui désigne les responsables locaux : Amédée Peyrot, maire de Sardent, Yves Chabrol, le père du cinéaste et Georges Lévêque, dentiste à Guéret. Très peu armés, ces jeunes gens inexpérimentés sont chargés d’entraver les battages pour bloquer les livraisons de grain à l’occupant. Ils s’étaient nommés « tribu des écureuils »…
Peut-être, en cet été 1943, alors que les rigueurs de l’hiver étaient encore loin, ne réalisaient-ils pas réellement qu’ils étaient en guerre ?
Ce rêve de Liberté prend fin brutalement le 7 septembre 1943.
A l’aube de cette journée tragique, un détachement nazi d’une centaine d’hommes attaque le camp. Tout de suite, c’est un massacre : les rafales de mitraillettes fauchent les jeunes gens qui ne peuvent opposer une vraie résistance. Les blessés sont achevés, les corps déposés dans la sape où sont lancées plusieurs grenades incendiaires.
Sept des jeunes maquisards sont tués pendant l’assaut : Gabriel Brunet, 23 ans, Georges Cavarnier, 23 ans, John-Allan Colomb, 21 ans, Robert Janvier, 18 ans, Jean-Pierre Maître-Allain, 21 ans, Jacques Nouhaud, 19 ans et Bernard Verbeke, 22 ans.
Huit autres sont faits prisonniers, cinq d’entre eux mourront en déportation : Emile Aureix, 24 ans, Henri Julien, 38 ans, Henri Pollet, Georges Van den Eden, 21 ans et André Vincent, 35 ans. Seuls trois en reviendront Marcel Dubreuil, Marcel Guisard et Roger Riche.
Trois jeunes, en permission ce jour-là, échappent au massacre: François Petit, Jean Saint Marcou et Georges Vergnaud.
La brutalité et la violence délibérée de ce qui fut nommé dès 1943 le « massacre du Bois du Thouraud » a profondément marqué les esprits…
Ces douze jeunes hommes sont les premiers résistants tués en Creuse par les nazis : l’émotion née de cet évènement vaudra au Bois du Thouraud le nom de « Premier Maquis Creusois ».
Dès 1947, est édifié sur les lieux un monument en hommage aux Maquisards.
Chaque année, le 7 septembre, une cérémonie se tient sur les lieux de la tragédie.
Aujourd’hui, un sentier permet de découvrir le site du drame, de s’imprégner de l’ambiance recueillie et perpétuer ainsi la mémoire.
112 – Numéro appel urgence
18 – Pompiers
15 – Samu
17 – Police secours ou Gendarmerie
113 – Drogues Alcool Tabac info service
115 – Samu Social
119 – Enfance maltraitée
39 19 – Violences conjugales
05 56 96 40 80 – Centre anti poison et toxicovigilance (Bordeaux)
OFFICE DE TOURISME :
12, place Alphonse Defumade – 23150 Ahun / Téléphone : 05 55 62 55 93
Mail : contact@ahun-creuse-tourisme.fr / Site internet
Place du Champ de Foire – 23400 Bourganeuf / Téléphone : 05 55 64 12 20
Mail : eaux-tours@wanadoo.fr / Site internet
EVOLIS 23 :
Les Grandes Fougères – 23300 Noth / Téléphone. : 05 55 89 86 00 / Site internet
Mail Service Déchets : relationusagers@evolis23.fr
Mail Service Eau & Assainissement : service.assainissement@evolis23.fr
Mail Service Voirie et Aménagement : service.voirie@evolis23.fr
COMMUNAUTE DE COMMUNES CREUSE SUD-OUEST :
Route de la Souterraine, BP 27 – 23400 Masbaraud-Mérignat / Téléphone : 05 55 54 04 95
Mail : administration@ccbrv.fr
La collecte des déchets, bacs bleus et marron, est effectuée par les services d’Evolis 23 les mercredis matins des semaines impaires.
Il est recommandé de déposer les bacs aux lieux de regroupement dès le mardi soir.
Par mesure de sécurité, il convient de les rentrer le plus rapidement possible et de les stocker en domaine privé.
Pour les encombrants, une déchetterie est ouverte les :
mardi, mercredi, vendredi, samedi de 9 h à 12 h, Route de Sardent.
Pour tout renseignement :
EVOLIS 23 :
Les Grandes Fougères – 23300 Noth
Téléphone. : 05 55 89 86 00 / Site internet
Mail Service Déchets : relationusagers@evolis23.fr
Ecoles maternelle et primaire
Ecole Georges Mercier, établissement public avec cantine
20, rue du docteur Jamot – 23250 Sardent
Téléphone : 05 55 64 54 62
Mail : ecole.sardent@ac-limoges.fr
Collège
Collège Claude Chabrol (anciennement les Pradeaux)
Etablissement public avec cantine
28, les Pradeaux – 23150 Ahun
Téléphone : 05 55 62 41 83
Site internet
Transports scolaires
Site internet
Associations et Présidents :
ACCA – Association Communale de Chasse Agréée
M. Pascal Cerbellaud
Association pour la mémoire des Victimes du bois du Thouraud, Premier Maquis Creusois
Mme Michèle Hylaire
ASCM – Association Sportive et Culturelle de Maisonnisses
M. Henri Guimbretière
Comité des fêtes Maisonnisses Loisirs
Mme Nicole Lefaure
Les Amis de la Gartempe
Mme Ginette Desseauve